[Bélâbre] Le discours que vous n'avez pas pu entendre
L'extrême gauche en action a interdit aux opposants de s'exprimer
Comme d'habitude, seules les idées de certains ont voix au chapitre
Le 11 mars 2023, le collectif des habitants opposés à l'implantation de ce CADA n'ont absolument pas pu faire entendre leur point de vue.
En cause : des forces de l'ordre aux ordres du Préfet et de leur commandement qui leur ont donné la consigne de laisser passer une contre manifestation orchestrée par l'extrême gauche nationale et qui, avec des méthodes déjà bien connues ont dégradé le matériel de sonorisation mis en place par les opposants sous les yeux de gendarmes tétanisés.
Précision importante : Très peu de ces "opposants" étaient Bélâbrais. Venus de très loin pour certains, comme à Sainte Soline pour semer désordre et imposer par la terreur leur idéologie immigrationniste.
La porte parole du collectif, Marie Odile T. ne pouvait donc dans ces conditions s'exprimer sereinement. Elle vous délivre ici ce qu'elle devait dire.
Un inventaire à la Prévert
" Bélâbre demeure un inventaire à la Prévert,
avec son église unique en France puisqu'elle est la seule église construite par Jules de Mérindol, architecte connu à Paris pour ses œuvres comme la grande Halle de la Villette ou le Carreau du Temple,
un inventaire à la Prévert avec aussi « La chambre du Poilu » dont on a parlé jusqu'au Japon, la chambre inviolable d'un « Poilu » de 20 ans qui doit rester intacte durant 500 ans à la demande de ses parents,
et enfin, avec un roman intitulé « Le pays qui a perdu son âme » écrit par l'un de nos romanciers locaux, Gaston Chérau, Prix Goncourt.
C'est un peu à cause de ce roman que nous avons créé une association de protection du patrimoine pour préserver le pays de Bélâbre et retrouver son âme perdue.
Bélâbre avait perdu son âme
Bélâbre avait perdu son âme à la suite d'une folle histoire d'amour du dernier marquis de Bélâbre dont l'épouse bafouée devenue veuve fit démolir pierre par pierre le si joli château de Bélâbre avant de quitter le pays.
Mais, si le dernier marquis de Bélâbre était libertin, il était aussi un maire exceptionnel qui a fait venir ici les plus grands artistes de l'époque pour bâtir et décorer notre église.
Un véritable maire qui chérissait autant son village que ses habitants, un maire qui a œuvré pour le bien-être de ses habitants en les nourrissant lors de la grande disette de 1848 et en leur procurant du travail dans ses forges de la Gastevine, un maire aimé car il n'avait jamais brisé l'unité de ses administrés.
En opposition, le maire actuel
Quand en février dernier la nouvelle d'un projet de CADA à Bélâbre est tombée, projet décidé par Laurent Laroche, décidant seul de l'installation d'un centre d'accueil de demandeurs d'asile en plein centre du village juste à côté de l'église.
Après un travail minutieux de recherches, il est apparu que le maire travaillait sur ce projet en secret depuis plus de deux ans, sans aucune concertation avec les Bélabrais, un projet porté par l'association Viltaïs, association épinglée par la Cour des Comptes en juin 2022 pour la gestion désastreuse des deniers perçus par subventions, donc vos impôts.
En dévoilant son plan de création d'un CADA à Bélâbre lors d'un conseil municipal en février, le maire a déclaré que ceux qui s'opposeraient à son projet étaient fascistes et racistes.
Un maire blessant et clivant
La majorité des Bélabrais en a été profondément blessée, moi tout particulièrement en tant que fille d'authentiques héros de la résistance qui nous avaient éduqués mes frères et moi dans le refus de tout ce qui peut être ou paraître du fascisme.
Quant à être raciste, comment le serais-je ? Je suis chrétienne, j'aime mon prochain, ardemment, intensément, et j'ai la plus grande compassion pour ces malheureux migrants victimes d'un honteux trafic humain, victimes de ces élites mondialistes qui, après avoir pillé les ressources naturelles de leurs pays pendant des décennies, les ont jetés dans de fausses révolutions colorées et des guerres punitives, les plongeant ainsi dans une misère totale. Arrachés à leurs pays et leurs familles par des passeurs et des associations soit-disant humanitaires, mais réellement immigrationnistes, ils sont acheminés en Europe où ils ne trouveront pas l'Eden promis mais l'Enfer des bidonvilles de tentes.
En tant que mère, je pense à toutes ces mères qui voient partir leurs fils vers nos pays, ces mères qui enterrent vivants leurs enfants migrants qu'elles ne reverront jamais.
Nous ne sommes pas non plus les lâches que le maire a vilipendé car nous sommes un collectif d'anonymes, pas plus que les conseillers municipaux qui ont voté à bulletins secrets, donc anonymes, pour ce projet de CADA.
Nous ne sommes pas des lâches mais de simples citoyens inquiétés par un service de police dédié à la lutte contre le terrorisme, policiers qui nous ont contactés ou sont venus chez nous pour nous intimider et exiger que nous leur donnions les noms des personnes de notre collectif.
En raison de ces méthodes d'intimidation, certains ont eu peur pour leurs familles ou pour leurs activités professionnelles, cela est parfaitement compréhensible. Pour ma part, ma vie est derrière moi et je n'ai plus rien à perdre fort l'honneur...
C'est la raison pour laquelle j'ai accepté d'être porte-parole.
Quels politiques élus vont nous aider ? Les grands absents
Nous avons été des lanceurs d'alerte mais dorénavant nous demandons aux politiques de prendre le relais, de nous défendre, de défendre notre mode de vie, de prendre enfin la défense de ceux qui leur ont fait confiance, ici à Bélâbre comme pour tous les villages qui sont ou vont être confrontés au même problème. C'est le rôle des élus de la République et ce n'était pas notre rôle, à nous , simples Bélabrais de prendre l'étendard de la résistance.
Nous resterons néanmoins dans l'armée des ombres et continuerons à résister face à cette directive de « transition démographique ». Nous demandons à tous les Bélabrais de le faire, ne renoncez pas, résistez, ne vous résignez pas !
Souvenons-nous de Balzac qui écrivait :
« En se résignant, les malheureux consomment leur propre malheur... »
Merci à tous."
Votre Fédération de l'Indre