Le mercredi 1 mai 2024

Matisse ou le silence des agneaux

Halte au silence des agneaux !

La longue liste des victimes des lames de migrants « schizophrènes »  s’est encore allongée avec l’assassinat de Matisse, 15 ans par un jeune Afghan multirécidiviste à Châteauroux samedi dernier.

L'histoire de Matisse fait le tour du monde et dans ce qui reste de la France on nous somme de nous taire dans la lâcheté du "pas de récupération"... 

Le silence des silencieux est la tranquillité des assassins.

Devenus experts dans l’inversion accusatoire, les médias aux ordres des élites au pouvoir distillent le venin habituel :

« Thomas les a provoqués, Philippe est un pédo et Matisse est un facho ».

Pour Thomas, ils ont prétexté la simple bagarre de soirée, pour Philippe ils ont fait croire qu’il s’agissait d’un pédophile et pour Matisse, ils tentent de le faire passer pour un raciste.

En plus d’être responsables de ces drames, ils salissent leurs mémoires. 

Comme d’habitude, les parents inhibés par les élus locaux et les médias réclament le silence pour éviter toute « récupération » et acceptent l’organisation d’une marche blanche pour solde de tout compte, alors qu’il devient urgent que les grandes voix politiques opposées à l’invasion migratoire et à une justice dévoyée par le gauchisme lancent un appel à manifester contre l’insécurité et le laxisme judiciaire .

C’est ainsi que la famille de Matisse aura demandé à ce qu’aucune « récupération politique » ne soit faite de la mort de leur fils.  Cette malheureuse famille est comme tant d’autres familles françaises endeuillées par certaines immigrations totalement inhibées par des décennies de sédation identitaire profonde et continue. Ces familles savent que si elles osent interroger les causes de la mort de leurs enfants, elle seront accusées de « stigmatiser et attiser la haine ». 

Dorénavant, les Français sont sommés de pleurer toutes les douleurs qui leur sont les plus étrangères quitte à voir flamber leurs villes dans des émeutes,

Mais quand ils veulent pleurer des douleurs françaises et parfaitement légitimes, ils sont criminalisés.

Pour la gauche et l'extrême-gauche, après la mort de Matisse comme après le drame de Crépol, la même stratégie est à l’œuvre : taire un drame, en faire un  fait divers noyé dans « un ensauvagement national » tendant à faire croire que nos enfants sont aussi barbares que leurs assassins.  

Face à cette pulvérisation de notre société « façon puzzle », une seule question se pose dorénavant :

Qui protégera nos enfants ?


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